Vous êtes en panne d’arguments pour faire baisser le prix d’une maison ? La négociation immobilière est un métier. Il est possible d’en apprendre les bases, mais la réussite est dans la pratique. On vous dit où trouver des professionnels de l’immobilier à Lyon et, à défaut, comment apprendre à mieux négocier en 5 étapes.
Achat d’une maison à Lyon : à qui s’adresser pour un prix négocié ?
Les agences immobilières Primmo sont présentes à Lyon et sur différents secteurs du marché de l’immobilier de la région : le Nord-Ouest, les Monts d’Or, le Beaujolais, le Val de Saône et jusqu’à la limite de la Dombes et de l’Ain.
Les conseillers Primmo peuvent ainsi vous accompagner dans votre projet d’achat d’une maison près de Lyon, ou de vente d’un appartement dans les quartiers les plus en vue du centre-ville.
Les agences Primmo réalisent régulièrement des estimations immobilières et connaissent parfaitement les facteurs d’évolution du prix sur leurs secteurs de marché. Leurs réseaux, leur veille constante et leurs missions quotidiennes leur offrent une longueur d’avance irremplaçable pour la négociation immobilière.
Le groupe Primmo propose ses services et ses conseils dans l’achat, la vente, la location et la gestion locative. Ses compétences s’étendent à tout type de bien immobilier : châteaux, maisons, appartements, propriétés, locaux commerciaux, bureaux, terrains à bâtir… Les agents immobiliers Primmo bénéficient ainsi d’une vision à 360° du marché.
Négocier ça s’apprend : quelques bases pour bien commencer
Faire appel à un expert pour bien négocier l’achat de sa maison à Lyon, n’empêche pas de se familiariser avec les techniques de négociation immobilière. Par où commencer ?
1 – Définir le projet, ses critères négociables et non-négociables
Certains éléments de votre projet immobilier sont non-négociables : budget maximal, surface minimale, temps de trajet domicile-travail…
D’autres critères peuvent évoluer en fonction de l’attractivité globale de l’offre de vente : un prix inférieur, mais avec des travaux de rénovation en perspective, un temps de trajet un peu plus long, mais plusieurs dessertes par les transports en communs, une moindre surface habitable, mais un beau jardin…
Faites une liste de tous ces critères par ordre d’importance : du moins négociable ou plus négociable. Cela vous permettra, en phase de négociation immobilière, de savoir facilement si vous devez vous montrer parfaitement inflexible ou, au contraire, assouplir votre position.
2 – Prendre la température du marché local de l’immobilier
C’est là que l’expertise du professionnel se révèle très utile. En tant que particulier, vous pouvez observer la tendance en comparant les annonces. Plus l’échantillon sera conséquent, plus vous toucherez à la réalité du marché.
Consultez les annonces affichées en vitrine dans les agences spécialisées implantées sur le secteur géographique qui vous intéressent. Prenez en compte les prix observés sur les annonces en ligne, en prenant le soin d’écarter les offres manifestement frauduleuses.
3 – Sonder l’intention du vendeur
Pourquoi le bien est-il en vente ? Le vendeur est-il dans l’urgence ? Le contexte de la mise en vente du bien vous donne quelques indications sur les marges de manœuvre envisageables.
Il n’y a pas que le prix de vente qui peut intéresser le propriétaire. Il peut aussi être sensible à d’autres arguments comme la sécurité de la transaction et les délais.
4 – Connaître l’état du bien
Le premier argument pour faire baisser le prix d’une maison ou d’un appartement est l’état du bien. Chaque défaut de conformité, chaque dommage, chaque signe défavorable (fissures, traces d’un dégât des eaux…) peut constituer un levier de négociation du prix de vente.
Certaines faiblesses du bâtiment sont directement observables et peuvent être facilement repérées lors de la visite. D’autres peuvent être révélées par les diagnostics à transmettre dans le cadre d’une vente.
Pour n’en citer qu’un, le « Diagnostic de performance énergétique » (DPE) peut jouer un rôle décisif. Un logement mal classé peut motivé un retrait ou constituer le point de départ de la négociation immobilière. Tout dépend de votre projet. Si vous ne prévoyez pas d’emménagement immédiat, vous pouvez réserver une enveloppe et un délai de travaux pour faire remonter le bien au classement et augmenter sa valeur sur le marché. Avoir une idée du budget nécessaire vous permettra d’appuyer votre révision à la baisse.
Le DPE vous livre ici des informations clés puisqu’il comprend une section qui récapitule les recommandations de travaux et leur niveau de priorité, sans oublier le coût estimé du chantier. Vous pouvez donc ici négocier en toute transparence.
5 – Les techniques de vente indémodables
Les meilleures techniques de vente tout terrain sont parfois applicables au marché de l’immobilier.
Lancer une première offre avec un prix bas, donnera plus d’impact à vos futures concessions au cours de la négociation immobilière. Si vous étiez descendu très bas, votre remontée sera plus spectaculaire. Si vous commencez au plus proche du prix de vente annoncé, il sera plus difficile de manœuvrer.
Attention aux excès : démarrer avec un prix outrageusement bas pourrait disqualifier votre dossier dès le départ, en laissant entendre que votre démarche n’est pas sérieuse. N’oubliez pas que, bien souvent, vous n’êtes pas seul en lice.